Ingénieur Paysagiste de Formation (de l’Ecole Nationale Supérieure de la Nature et du Paysage de Blois), elle est actuellement formatrice CAPA Espace Rural en Gestion Différenciée et encadrante sur des chantiers d’insertions à la Croix Rouge Insertion IDEMU.
En complément le weekend elle est guide médiatrice aux Jardins Passagers de la Villette, jardin écologique pédagogique.

Précédemment elle a été Chargée de la Mission Paysage et Urbanisme au Parc Naturel Régional de Millevaches en Limousin et a travaillé dans différentes agences de paysages en France et en Italie.

De plus elle fait partie, cette année, d’une équipe du Festival International des Jardins de Chaumont sur Loire pour « Le Jardin d’Amour » donc elle a assuré la mise en œuvre et le suivi avec des salariés en insertion.

Croix rouge insertion IDEMU

Les salariés sont la richesse et le moteur de l’IDEMU.

Le sens de notre action en faveur de l’insertion et de l’environnement est réel. La motivation qu’il procure permet l’exploration de marchés émergents, de services nouveaux, l’esquisse de nouveaux métiers à l’interface d’une approche sociale et de la technicité qu’exige l’écologie.
Ce savoir-faire méritait d’être reconnu et IDEMU devenu désormais Croix-Rouge insertion – IDEMU est avant tout un bel outil au service de l’emploi local durable des territoires.

Sensibiliser, informer, conseiller et former sont les modes d’action de l’IDEMU. La démarche est professionnelle et investie : un accompagnement
sérieux, un encadrement ferme, un soutien généreux, favorables au rebond des individus. Nous sommes fiers du taux de 50% de sorties positives en insertion et de 80% en formation ; Fiers également de rendre lisible les filières métiers et les filières de formation dans l’économie verte ; Fiers d’être acteur de la lutte contre la précarité énergétique.

L’association s’est forgée depuis 1995 une identité d’expert en matière de gestion différenciée des espaces verts et du concept cumule les principes d’agropastoralisme ancestrale (non recours aux produits chimiques) appliquée aux espaces verts, et des méthodes d’entretien qui encouragent la biodiversité. Par exemple, le maintien de certaines espèces végétales dites spontanées (anciennement « mauvaises herbes ») permet d’attirer des insectes qui sont les
prédateurs d’espèces nuisibles. « L innovation n est pas tant dans la technique que dans la conception de l’entretien paysager », explique Eric Declavel. Une conception qui pourrait se résumer par l’idée que nos espaces verts se portent mieux si nous cherchons des allies ailes au ras des pâquerettes, plutôt que de tenter de régner en maître sur une terre brûlée par les pesticides.

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Site: www.idemu.org